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[Récit]Des plans compromis...

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[Récit]Des plans compromis... Empty [Récit]Des plans compromis...

Message  Belfala Sam 7 Mar - 2:07

J'vous fait partager une nouvelle écrite sur le forum RP par "myself, me and I" en étroite collaboration.

Ca sera moins long que la relativité des choses, et j'espère plus agréable à lire Smile


DES PLANS COMPROMIS


"- Conseiller, tout le périmètre est sous contrôle. Vous pouvez prendre place dans le bâtiment, et, comme convenu; nous maintiendrons les rondes durant la nuit entière. Veillez à ne pas trop vous inquiéter, reposez-vous : Demain est un jour important."

Le conseiller financier Osimav acquiesça d'un signe de tête, remercia son sergent-chef et entreprit de découvrir l'auberge.

Le soir tombait, et il faisait bon. La fraicheur de la forêt lui faisait le plus grand bien : son voyage avait semblé durer une éternité. De retour d'Outreterre, il avait traversé l'ensemble de la péninsule des Flammes infernales afin de prendre la Porte des Ténèbres, et parcouru l'ensemble sud du continent pour remonter jusqu'à la forêt d'Elwynn. Une longue semaine de voyage, en toute sécurité : il semblait bien trop dangereux d'utiliser les portails arcaniques où même de traverser une capitale avec le contenu qu'il possédait – ce dernier devant rester secret jusqu'au dernier moment. Une escorte discrète avec une petite dizaine d'hommes s'avérait encore le moyen le plus sûr d'arriver à bon port sans trop se faire remarquer.

Osimav souffla. Il posa sa valise et sa mallette au sol devant l'escalier, et parcouru les lieux, tout ayant été mis à sa disposition. La porte avait été fermé, l'ensemble de ses hommes était maintenant dehors, la moitié aux aguets, l'autre prête à prendre la relève. Angoissé, il ferma le second verrou de la porte, et décida de se servir de la cuisine pour retrouver les forces qui lui manquait. Un cuisinier avait été spécialement dépêché et lui avait préparé un plat spécial.

En mangeant, il ne put s'empêcher de se perdre dans le courant de ses tourments :

"Le Norfendre est une bataille des plus importantes. A l'heure actuelle, l'innovation technologique est capable de contrer et de résister à la magie démente du Roi-Liche. Les plans que j'ai; une fois arrivés à Stormwind, seront confiés aux hautes-autorités, fabriqués et acheminés vers le Norfendre. Tout repose sur moi. Je dois apporter ce plan; qui nous donnera un avantage conséquent lors de la grande bataille dans Ulduar...qui est maintenant imminente. Demain... Demain plus rien ne sera de mon ressort, et je pourrais souffler, mais pour le moment... je dois rester prudent."

Son repas fini, il se leva, et entreprit de s'installer confortablement dans sa chambre afin de profiter d'une nuit de sommeil méritée. Mais, en arrivant devant l'escalier, un frisson glacial lui parcourut l'échine, et un hurlement horrifié sortit de sa bouche : La mallette avait disparue !

Il fit un tour sur lui-même. Le sang affluait a ses tampes, la peur gagnait du terrain. Paniqué; il se rua sur la porte, déverrouilla l'ensemble des loquets, et hurla :

« Gardes ! Gardes ! Ma mallette à disparue! Quelqu'un est parvenu à se glisser dans l'auberge par je ne sais quel moyen ! C'est une catastrophe ! »

Cette phrase répandit une grande agitation paniquée au sein de l'ensemble des soldats. Tous – de garde ou non - s'étaient automatiquement levés; et avaient couru dans l'auberge pour voir si quelque chose clochait.

« Je l'avais posé au bord de l'escalier ! Et désormais, elle n'y est plus! Ma valise n'a pas bougé, mais cette satanée mallette a disparue, pouf ! Comme par enchantement! »

Après un long moment, la voix très calme – et involontairement moqueuse- d'un des soldats se fit entendre :
«Conseiller, avec tout le respect que je vous dois... Votre mallette est juste tombé sur le coté, se glissant sous l'escalier... »

Osimav se trouva honteusement stupide. Il se sentit rougir, et aucun des soldats -ni même le sergent- n'osa dire un mot, de peur qu'il soit mal pris.

Enfin, le sergent se risqua :
« Conseiller... il est normal que vous ayez quelques craintes. Votre mission est d'une importance capitale. Afin de vous rassurer, nous allons ordonner à deux gardes de ne pas dormir : cela permettra d'en placer deux avec vous dans l'auberge, garantissant qu'il n'arrivera rien... si cela peut vous rassurer, évidemment. »

Ce dernier, encore abasourdi par le choc qu'il venait de recevoir, accepta sans rechigner. Il s'excusa tout de même, et pria son sergent de le laisser en paix. Une fois la porte refermée de l'intérieur; il pivota vers les gardes présents dans la pièce et leur donna quelques consignes :

« Soldats, veillez a ce que votre mission soit faite avec brio, et je veillerais à ce que votre futur soit des plus prometteurs : j'ai toujours eu de bons contacts. Messieurs, je ne vous souhaite pas bonne nuit : Vous ne devez pas dormir. »

Et sur ces pas, en s'emparant de sa précieuse mallette, il gagna son lit, et, tourmenté mais épuisé par l'incessante surveillance due à une telle mission , ils'endormît précieusement, la mallette plaquée contre lui.

Ce fut à deux heures du matin que ça arriva.

Alors que Osimav dormait profondément, il entendit un lourd fracas : quelque chose était tombé.

Il se releva. La panique le gagna. La main sur la mallette, il ne savait que faire.

Des bruits de lutte, maintenant. Son coeur accélérait dans sa poitrine. Que devait il faire? Descendre, pour voir et soutenir? Rester, pour protéger les plans? Et diantre, il ne savait pas se battre! Très peu, du moins! Si ces soldats craquaient... Un cri d'agonie l'interrompit. Sa main moite glissait maintenant sur la mallette, qu'il empoigna nerveusement.

Il sauta du lit. Qui était en bas? Que se passait-il? A peine eut-il le temps d'entrouvrir la porte qu'un second cri d'agonie, plus puissant et douloureux que le premier, le figea sur place. Il ouvrit entièrement la porte et se rua vers la pièce d'en bas, qui baignait dans une pénombre totale. Il descendit les escaliers aussi vite que le noir lui permit, et essaya de trouver de la lumière qui lui aurait permis de comprendre ce qu'il se passait. Au bout de quelques tâtonnements hasardeux, il pu trouver un chandelier. Il le saisit, et l'alluma – chose qu'il regretta aussitôt.

Sous ses yeux horrifiés, l'un des deux soldats agonisait au sol, la bouche ouverte de douleur. A bout de force, il ne put articuler un mot : seulement un râle de sang et de souffrance, émis depuis la gorge – fontaine de sang et de souffrance qui avait été taillée préalablement d'un geste sec et sûr.

A coté gisait le second soldat, déjà mort quant à lui de la même façon, étalé dans une flaque rougeoyante. Sa tête avait gardé l'expression de la surprise, les sourcils restants relevés, et la bouche bée traduisant que l'assassin avait été non seulement rapide, mais surtout efficace : c'était la trachée artère qu'il coupait pour empêcher ses victimes de respirer.

Avant même qu'Osimav ne pût comprendre cela, et qu'il eut commencé à envisager de rejoindre expressément la porte afin de se mettre à l'abri, il sentit une douleur vivace se répandre dans sa jambe droite. Il n'eut pas le temps d'analyser : la douleur le fit tomber à genoux.

Ce fut instantanément que la dague vint glisser contre son cou, le privant de son air vital, et l'obligeant à lâcher la mallette puis à fermer les yeux pour rejoindre la grande inconnue.

Et l'auberge regagna le silence...avec le porte toujours doublement verrouillée.
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Message  thescorpion Jeu 26 Mar - 13:25

ne serai ce pas le tresor,

c'est un texte mais pas un message vu que personne ni a repondu ,
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